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englishNehme mir die Freiheit, meiner viellieben Mama, einige Früchte zu senden
Dass Friedrich II. ein leidenschaftlicher Briefschreiber war, kann man nicht zuletzt aus seiner Korrespondenz mit Voltaire ersehen. Hinter diesem Briefwechsel bleiben jene Briefe zurück, die Friedrich mit seinen Familienangehörigen, unter anderem mit seiner Frau, gewechselt hat. Der Briefwechsel mit seinem Bruder Heinrich, den er als Einzigen unter seinen Brüdern politisch ernst nahm, ist etwas bekannter geworden. Unbekannt geblieben sind die anrührenden Briefe des jungen Friedrich und die des schlachtenführenden Königs an seine Mutter. Nicht weniger anrührend sind die Erwiderungen der Königin-Mutter an ihren innig geliebten Sohn.
Frédéric II nourrissait une immense passion pour l‘écriture.
Sa correspondance avec Voltaire en apporte la preuve. Leurs relations épistolaires fameuses ont jeté dans l‘ombre des échanges tout aussi admirables entretenus avec d‘autres personnes. Cette correspondance secondaire comporte les lettres adressées aux membres de sa famille, dont son épouse Elisabeth. Les courriers adressés à son frère Henri, le seul frère que Frédéric prenait
au sérieux, sont mieux connus du public. En revanche, quasi- inconnues sont les lettres du jeune Frédéric ainsi que celles que le jeune roi, chef de guerre affirmé, adresse à sa mère du cœur même du champ de bataille. Les répliques de la reine-mère adressées à son fils bien-aimé ne sont pas moins touchantes.