Les états d’âmes que l’on peut ressentir loin de chez soi et de sa langue maternelle sont complexes et révèlent souvent de nouveaux aspects de sa propre personnalité. Partagé entre le mal du pays, le manque de pratique de cette nouvelle langue à laquelle il faut faire face quotidiennement mais aussi une envie d’apprendre et la curiosité de découvrir une culture inconnue, aucun expatrié ne peut échapper à ces remises en questions. Brigitte Giraud aborde ce thème dans son nouveau roman Une année étrangère et décrit avec beaucoup de réalisme les sentiments contradictoires que Laura, française de 17 ans installée comme jeune fille au pair dans une famille atypique de l’Allemagne de l’Ouest, éprouve en tant qu’adolescente à la frontière entre deux mondes, celui des enfants et celui des adultes, en « exil volontaire »
Le temps d’un vol Paris-Berlin, la narratrice du premier roman de Noémi Lefebvre, L’autoportrait bleu, se remémore en un unique monologue intérieur son séjour berlinois et ses occasions ratées de concrétiser une histoire d’amour avec un pianiste.
Der Titel des vorstehenden Buches macht jene neugierig, die sich wissenschaftlich darüber wundern, dass in den demokratischen, sogenannten offenen Gesellschaften des Westens und insbesondere in Deutschland Reformen, wenn überhaupt, nur schleppend vorankommen. Dieses interdisziplinäre Interesse an der politischen Ökonomie von Reformen wird bei einem Blick auf das anspruchsvolle Inhaltsverzeichnis und die Zahl ebenso anspruchsvoller Themen noch größer. Neben Grundsatzbeiträgen wie dem von Jörn Kruse „Das Monopol für demokratische Legitimation und seine Überwindung“ gibt es sehr präzise Fachbeiträge wie den von Stefan Bayer „Zur Renaissance des Konzepts der Eigenverantwortung im Sozialversicherungssystem der Bundesrepublik Deutschland“.
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Es ist eine eigentümliche Sitte – wenn nicht gar Unsitte – der deutschen Wissenschaftslandschaft, großer Ökonomen dadurch zu gedenken, dass man Gesellschaften gründet, die ihren Namen tragen. In diesen Gesellschaften, so auch die Keynes-Gesellschaft, wirken häufig Wissenschaftler, deren Reputation mittelmäßig ist und die durch Berührung mit einem großen Namen versuchen, sich jenen Nimbus zu verschaffen, der von ihrem Werk nicht ausgeht. (Weiterlesen …)